Du Big Bang au Cerveau

Du Big Bang au Cerveau

0-0 Introduction et mes motivations.

0-0 Introduction et mes motivations.

C'est à l'origine, le langage, les ensembles et les nombres

 Il me faut au début une solution simple unique complète et cohérante.

Je veux expliquer dès le début pourquoi et comment j'en arrive à complètement changer toute la physique que j'ai enseignée dans le supérieur à Montpellier et beaucoup à la coopération en Afrique. Cela m'a permis de voir de plus loin et plus par moi-même globalement cette matière que je pense être presque mature actuellement mais pas encore mature et qui manque encore sérieusement d'unité et de cohérence... Je veux tout regrouper en une science unique le savoir.

Mais pour être crédible il me faut dès le départ vous en convaincre concrètement en reprenant tout à zéro très simplement pour vous en convaincre.

Alors, de quoi je parle? De ce qui est nécessaire, logique et scientifique? Il me faut repartir de Zéro 0 pour tout reconstruire, point par point et en toute logique, car je pense vraiment qu'il faut tout remettre en ordre et dans un ordre naturel actuel.

Première remarque essentielle: Il n'y a pas de progrès sans ordre.

C'est mon premier argument pour tout remettre en ordre et pour cela il me faut m'imposer, seul contre tous, il me faut alors un grand nombre d'arguments pas seulement pour moi-même mais acceptables aux scientifiques pour pouvoir m'affirmer et surtout m'imposer en toute conscience. Cela ne semble pas très naturel comme situation mais c'est l'exception qui permet de progresser et non la majorité statistique. Le naturel a deux sens opposés car le naturel n'est où l'on croit.

Deuxième principe de la thermodynamique — Wikipédia

Mon meilleur argument est dans mon domaine scientifique et je réfute cette définition même de la physique-chimie qui devrait être une même et unique science avec les mêmes lois et les mêmes fonctions d'état tel S pour la physique et G pour la chimie. Ce qui est normal puisque la chimie est un paragraphe de la physique qui étudie la matière inerte constituée d'atome. Ses lois utilisées constituent un chapitre de la physique. Ce sont celles fondamentales de la thermodynamique pour l'explication des transformations de la matière de notre Univers et ses fonctions d'états fondamentales (l'entropie S en physique: S= Q/T) et ( l'enthalpie: G= H–T.S en chimie).

L'enthalpie libre G= H–T.S (ou simplement énergie de Gibbs) est une fonction d'état introduite par Willard Gibbs généralement notée G. Elle est associée au deuxième principe de la thermodynamique, principe d’évolution des systèmes physico-chimiques.

Il existe alors deux fonctions d'état d'un même système DG et DS aux variations quasi identiques au changement de signe prés de – en + . Où est l'erreur ? C'est exactement la même fonction d'état à un changement de signe près. L'erreur est malheureusement en physique et les chimistes n'osent pas remettre en place les physiciens.

On les comprend, après tout ce n'est pas leur domaine et en cela ils sont raisonnables.

Mais par exemple la glace dans un dewar d'eau plein à ras bord fond pour évoluer vers un état stable uniforme à volume et pression quasi constante, dans un système quasi isolé, avec une baisse d'ordre et donc une augmentation du désordre des molécules suite à la fonte de la glace et de ses molécules qui se dispersent dans le désordre du liquide. D'où une augmentation du désordre général dans le changement d'état d'un système isolé dans le récipient et ceci vers et désordre total.

On dira que je n'ai pas peur, mais j'en ai l'habitude et c'est parfois nécessaire avec ce … de cerveau. Je parle évidemment du mien dont je me méfie. Ce ne peut pas être plus simple, c'est donc excellant comme introduction scientifique.

      C'est l'exception de la règle de «cause à effet» qui confirme tout.

L'effet c'est de cette erreur de cause à effet qui me convainct.

Alors, cette règle où est-elle fausse dans la cause ou dans l'effet ? C'est effectivement en physique car on ne voit pas comment on pourrait prévoir le résultat d'une évolution physique tout simplement dans un désordre qui s'imposerait logiquement dans tous les cas. Alors, rien ne serait prévisible et il n'y aurait plus, et ceci surement surement, rien de prévisible physiquement. C'est tout simplement vrai !

La cohérence initiale initiale et finale s'imposent logiquement.

De quoi je parle?...  De ce qui est nécessaire, logique et scientifique? De ce qui existe réellement, de ce qui est vrai et que je dois bien comprendre et donc aussi de ce qui n'est pas vrai ou qui n'est pas dans mes certitudes mais ... Il y a aussi tout ce que je ne comprends pas évidemment. Alors ma logique est nécessairement ternaire. Je dois m'expliquer et surtout être scientifique donc dans un langage d'unicité des règles et des savoirs avec trois possibilités ( Vrai, Faux et je ne sais pas? ). Dès le départ, ma logique est ternaire pour me permettre d'en rendre compte au bout de mon exposé de ce qu'est la physique et de ce qui la définie. C'est la Mesure physique et son évolution qui toutes deux sont bâties sur un même élément unique le photon ( ou l'énergie ) lui  aussi ternaire dans sa définition par ses mesures physiques et à l'origine de tout.

Un seul élément 1, l'unité de base est à l'origine de tout avec la théorie générale de la physique du Big-Bang de l'énergie initiale et de l'existence du photon qui est l'énergie initiale et l'étalon des mesures physiques qui nous permet de tout définir scientifiquement dans tout l'espace à notre portée.

Mais, au-delà d'une unité qui défini tout, il nous faut aussi un repère pour un début, un état étudié et une fin. Une origine et un zéro 0 est donc un ensemble vide, sans rien ni pour se situer  telle une origine ou un élément pour un repère. L'ensemble vide doit d'abord déjà exister avant tout le reste et l'unité 1 de l'élément que l'on étudiera et qui se développera.

Qu'est-ce qui est nouveau en cela ?     Évidemment rien,

si ce n'est, ce que je dois supposer vrai dès le départ car c'est ce qui s'imposera plus tard. C'est tout l'univers qui en découlera bien trop complexe et probablement multiple dans ses manifestations. C'est la raison d'un début le plus simple possible pour tout définir enfin. En effet la science, si elle existe, ne peut être qu'unique et simple définie en un seul bloc. Sans besoin de retouches et de précisions sans cela il n'y aurait pas de possibilité de conclure sur une solution globale qui resterait vague, infinie comme au départ où  le 0 s'impose comme il semble que c'est le cas.

Il suffit pour s'en rendre compte d'explorer un paysage pour comprendre que c'est impossible d'en rendre compte exactement et simplement. C'est de l'ordre de l'infini et du ressenti sur lequel il faut toujours revenir pour toujours découvrir quelque chose qui nous échappe. Ce problème se retrouve alors dans toute théorie du tout comme par exemple pour celle celles des nombres avec un problème d'incomplétude tel exposé pour la première fois par Gödel qui pose le problème pour toute théorie et précisément celle des ensembles de nombres qui existe physiquement parce que mesurable. Bon, alors restons en physique dans un ensemble d'abord « fini et borné » comme l'ensemble lui aussi fini et borné « Abélien des physiciens ». Cet ensemble au départ n'existe pas pour un mathématicien actuel mais est suffisant et nécessaire pour tout physicien « averti et conscient » qui s'occupe de ce qui existe vraiment et matériellement et donc est caractérisable par ses mesures numériques précises, donc uniques et limitées ou finies... Mais cet ensemble au départ est défini dans un vide absolu qu'on arriverait à imaginer et à isoler mais on ne sait ni où ? ni quand ? ni comment ? Mais peut-être pourquoi, parce qu'il s'impose. C'est donc un élément abstrait non matériel ni même mesurable, c'est un repère et donc une procédure a priori utile pour se situer globalement et logiquement, pour démarrer à partir de quelque chose, un espace ou un temps qui n'existent pas naturellement et que l'on imagine ou que l'on se fixe arbitrairement.

C'est une Origine, noté zéro 0, comme pour le comptage numérique où on a besoin d'une origine imaginaire non mesurable à l'origine aussi de tout et qui ainsi définirait arbitrairement un point de repère aléatoire de ce qui sera, qui est ainsi une procédure d'une d'incomplétude originelle qui s'impose pour nous nous permettre d'être cohérent .

C'est ce que je dois traiter. Alors je m'impose et j'accepte de définir mes limites.

Au départ donc, je reprends toute la théorie et le langage des nombres pour que ce soit simple, unique et concret. Pour cela je reviens sur l'origine des nombres que je sais être mes doigts et qui sont probablement le premier outil de l'homme qui est aussi à l'origine même des nombres.

j'ai mon unité au bout de mon index, un 1 de base. 1 qui pratiquement pointe aussi vers la suite et me permet de montrer quoi, ce qui m'intéresse c'est l'unité matérielle de base, et ses suivants 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, Dix. C'est déjà un ensemble minimum bien pratique, mais incomplet déjà, et chaque élément porte un chiffre distinct. Le dernier mesurable Dix dénote car il n'est pas symbolique comme les autres et pose déjà un problème comme zéro 0 qui n'est pas encore là. Tous ces éléments sont définis de manière unique et je peux alors les utiliser pour caractériser un ensemble unique dénombrable. Mais j'ai déjà un vrai premier problème, car je n'ai pas de symbole correspondant à dix. Alors, Il est peut-être intéressant de démarrer à zéro 0,1,2,3,4,5,6,7,8,9 et c'est vrai car alors j'ai mes dix chiffres ou symboles nécessaires pour compléter mon alphabet de base arithmétique qui définira tous les nombres entiers quels qu'ils soient. Mais, qui n'est plus sur mes dix doigts, car j'utilise 0 qui n'est rien car chaque doigt définissait au départ un nombre non nul. Effectivement le zéro n'est pas véritablement un nombre comme les autres au départ, c'est moins que rien car ce n'est rien du tout ? c'est même nul. Ça devient abstrait et complexe. Donc dans 0 il n'y a même plus d'informations de quoi que ce soit. Cela pose le début de la notion d'incomplétude. Ce nombre n'en est pas un comme les autres, c'est une exception qui n'existe que par exception de tous les autres, un vrai problème d'incomplétude ou de compréhension de la définition du langage et de la structure que j'étudie. Est-ce qu'un ensemble vide en est un? Et, surtout de quoi puisqu'il n'y a rien ? Quelles sont alors ses caractéristiques? On s'apercevra qu'on s'en sort pas et donc ce nombre n'en est pas un...

Bref, j'abandonne et j'accepte la théorie des nombres pour caractériser un ensemble unique d'éléments bien définis... Mais, il me faut alors bien définir les caractéristiques de chacun de ces éléments et ce de manière unique et ce sera alors dans des procédures à définir très précisément au-delà de celles des nombres obtenus par des mesures physiques qui seront des nombres uniques associés aux caractéristiques sauf zéro avec, peut probablement une certaine incertitude dépendant du nombre de chiffres résultant de la mesure elle-même.

Je sais pas si c'est clair? Mais, c'est la mesure Physique et ses procédures qui nous imposeront le résultat obtenu et la précision nécessairement. Alors, on sort alors de la définition simple impliquant l'unicité de nos éléments. L'objet dépendrait alors d'une procédure de mesure ? Ou probablement des deux? Alors, de quoi je parle ? On dirait que c'est déjà de la mécanique quantique actuelle !

Si le langage des nombres est alors discutable, c'est l'unicité du résultat et des nombres eux-même qui sont alors en cause avec pour réponse oui, non, et où on ne sait pas exactement.

C'est le principe du langage scientifique qui n'est pas simple, mais le plus simple possible.

Je soulève par contre, dès lors un vrai problème pour les nombres zéro 0 et 1/0 sont des exceptions aux nombres et n'en sont pas réellement, tel que je l'entends pour tous les autres mais, qui sont par contre très importants car à la limite de la création des ensembles complets, et véritablement fondamentaux en arithmétique qui n'existerait plus pour en définir et ensemble fondamental quel qu'il soit. Qu'est-ce qui va alors nous permettre de définir tous les ensembles d'éléments, les énumérer par un nombre unique et les numéroter tous l'un après l'autre pour les distinguer et les caractériser tous physiquement de manière unique sauf un seul le Zéro qui n'existe pas et 1/0 encore moins qui sont vides d'information comme le vide qui serait à l'origine de tout !

Je me perds et Gödel me l'explique mais c'est difficile à accepter.

Le Treillis s'imposera alors récemment pour introduire les ensembles et les nombres pour la physique quantique et c'est alors une procédure qui préfigure ce qui s'impose pour une mathématique adaptée à la physique quantique bien abstraite. C'est aussi ce qui était nécessaire pour développer le groupe abélien qui en réalité est un espace vectoriel a priori fini donc plus pratique et réel en physique. C'est ce que l'on suppose être le cas de l'espace de notre univers en physique actuellement et qui au-delà pourrait avoir un effet aussi sur la mesure physique elle-même qui dépendrait alors de la procédure réelle utilisée pour la mesure qui elle-même imposerait le résultat obtenu. Là je m'en sors un peu en mais en forçant le résultat, et j'arrête.

Le tout sera un résultat tel le Big Bang initial c'est-à-dire notre espace à l'origine, on ne sait ni où ? ni quand ? ni comment ? ni quoi ? ni pourquoi ? Alors disons vers 10-45seconde où tout est déjà là et se développera avec des fonctions d'état telles que:

                  Énergie interne dU = dW + dQ

                  Énergie libre F = U – T. S

                  Enthalpie H = U + P.V Enthalpie libre G = H – T. S

                  Entropie S = Q/T

L'enthalpie ou Enthalpie libre G (ou énergie libre de Gibbs, ou simplement énergie de Gibbs comme quoi il doit y avoir et problème quelque part) est une fonction dtat introduite par Willard Gibbs, et généralement notée G . Elle est associée au deuxième principe de la thermodynamique, principe d’évolution des systèmes physico-chimiques.

Le second principe énonce que toute transformation réelle s’effectue avec création d’entropie, c’est-à-dire que le bilan entropique, correspondant à la somme des variations d'entropie du système et du milieu extérieur, est positif :

S créée = DS sys + DS ext

La fonction entropie peut être utilisée pour l’étude de l’évolution d’un effet pour un système isolé, l’entropie passe alors par un maximum à l’équilibre du système thermodynamique isolé et donc toute évolution doit aller dans ce sens.

En général, intuitivement on pense qu’un équilibre stable est atteint lorsque l’énergie est minimale. C’est le cas de l’énergie potentielle (gravitation, électromagnétisme, etc.) dans le cas de l’entropie, il faut étudier, en plus du système, l’évolution de l’entropie du milieu extérieur. Gibbs a défini une nouvelle fonction qui prend en compte ces deux remarques. Là, il y a erreur! Ce serait pour en corriger une autre ailleur? C'est ce que je pense. Variation en fonction de la température et de la pression et en absence du travail électrique, la différentielle de G (fonction d'état) devient tout simplement: ce qui conduit directement aux relations de Maxwell. La dérivée par rapport à la température peut aussi être exprimée sous forme de la relation de Gibbs-Helmholtz. C'est le cas d’une réaction chimique à T et P constantes, irréversible par nature. Il s'ensuit: D G = – T.S < 0 et un changement de signe entre entre G et S .

incroyable mais vrai et j'en conclue à une erreur quelque part ?

 

Conclusions :

Je commence par de la philo...

Pourquoi me justifier a priori. D'abord parce que je veux seul dans mon coin résoudre mon problème en me méfiant des croyances qui s'imposeraient. En effet, il semble que chacun accepte qu'il puisse croire ce qu'il veut et tous pourraient avoir autant raison les uns que les autres. Ça ne veut plus rien dire. On peut croire ce que l'on veut. De toute façon, il y a une multitude de possibilités différentes … et c'est peut-être bien ainsi.

Je continue par de la science...

Actuellement, et surtout depuis 1900 les statistiques ont pris le dessus. C'est devenu la raison, non raisonnable du savoir. Le raisonnable était le résultat d'une loi essentiellement « de cause à effet » qui en ce moment s'inverse par des effets statistiques permettant d'en trouver la cause. Le problème est qu'il y a alors possibilité d'autant de causes que de personnes présentes et bien souvent en cas de non-unanimité un vote détermine la bonne solution !

La solution scientifique est toujours un résultat de cause à effet et il n'y a pas de solution logique statistiquement prouvée. Mais actuellement on oublie et même on nie cela. Comme résultat on trouve ainsi la solution qui s'impose et l'existence des Dieux.

Je finis alors en toute conscience...

La conscience en français c'est la science. Ce n'est pas le cas en anglais, heureusement pour moi. Ceci est d'autant plus vrai parceque cela me permet en toutes consciences de démontrer dès cette introduction et tout simplement que j'ai raison scientifiquement et ceci me permet de tout remettre en ordre dans la science officielle actuelle. C'est le vocabulaire français qui me pousse à la raison que j'exploite pour prouver a priori et scientifiquement, au départ mes écrits et donc que j'ai raison de tout remettre en ordre et surtout en toute logique scientifique avec la science actuelle et surtout en toute conscience et humilité ou plutôt humanité. Je le fais par écrit pour l'assumer et ne le ferai jamais verbalement car ainsi j'assume tout simplement ce que je suis.

 

 

 

 

 

 

Résultats connectés au zéro.

Le zéro introduit une procédure exceptionnelle au-delà des chiffres eux-mêmes et du fait des procédures spéciales telles que:

si   x²-1 = 0   alors   =>   (x+1)(x-1) = 0   et   =>   x = -1 et x = +1

ces résultats sont deux racines possibles mais indiscernables, ce qui est une des propriétés fondamentales  de la mécanique quantique.

On peut avoir ces trois solutions :

x = -1   ou   x = +1   et   x = (-1 et +1) en même temps.

Puisqu'on est dans un résultat nul tout autant.

C'est la propriété des groupes de Galois qui met en évidence cette indicernabilité de la théorie des groupes de Galois pour la première fois vers 1830 sans que personne ne l'envisage... C'est ce qui apparaîtra un siècle plus tard avec Heisenberg et la symétrie liée à une propriété de commutativité.

 

On terminera par deux vidéos essentielles.

Ce n’est pas une équation mais un principe, bien souvent connu comme «le principe d'incertitude» alors qu’il serait plus juste de l’appeler «le principe d’indétermination» imaginé en 1925 par le physicien allemand Werner Heisenberg, il postule que l’imprécision ou l’incertitude liée à l’observation d’une particule quantique résulte de la nature même de cette particule. Cette histoire nous détaille « Le principe d'Heisenberg » et ses conséquences sur l'influence de la mesure sur le résultat.

 

Le principe de Heisenberg en vidéo — CultureSciences

C'est court, 4 minutes et cela pose bien le problème physique que l'on doit comprendre. Ce n’est pas une équation mais un principe, bien souvent connu comme « le principe d'incertitude » alors qu’il est en réalité «un principe d’indétermination dû à la méthode de mesure» comme imaginé en 1925 par le physicien Werner Heisenberg qui postule que l’imprécision ou l’incertitude liée à l’observation d’une particule quantique résulte de la nature même de cette particule et non d'une incertitude et de la statistique qui en résulterait. C’est cette histoire que nous détaille « Le principe d' Heisenberg » dans cette vidéo des équations Clefs de la physique.

En réalité, je dirais que c'est plutôt un principe de délocalisation qui s'impose comme dans un groupe de Gallois associé à des propriétés de symétries qui entrainent et produisent cet effet «de délocalisation» que l'on retrouve algébriquement dans les transformations de Fourier de l'expression algébrique des trajectoires.

L'infini - YouTube

Cette vidéo montre bien qu'il y a des difficultés à définir un ensemble de nombres avec l'infini. Mais l'infini est lié aux 0 à la limite que l'on définit avec 1/x

lorsque x --> 0.

Les n orbitales de positions des éléments matériels étudiées sont les n zéros d'une équation algébrique E(x,y,z) = 0 écrites sous forme d'un produit tel que: E(x, , ) = (x – x1).( (x – x2)... ... (x – xn)

qui correspond bien à une chaîne symétrique de n parenthèses pour n racines du polynôme qui définissent n niveaux d'énergie qui peuvent être distincts ou identiques et peuvent se superposer et correspondre alors à des états déterminés délocalisés pour des particules qui peuvent ne plus être discernables, leur unification onde-particule.

La mécanique doit rester un phénomène totalement algébrique avec des points qui se déplacent sur des courbes et des positions précises, non statistique et aléatoire. On peut en rendre compte avec une représentation non pas par des nombres seulement mais aussi avec des courbes continues telle une corde qui se déforme et qui vibre. Par exemple une corde de violon qui algébriquement correspondra des déformations latérales et une onde sinusoïdale quand elle vibre et cela peut être une flute avec une colonne d'air qui vibrera tout autant. Dans un cas c'est une droite qui vibre, dans l'autre cas c'est l'espace qui vibre et c'est plus général car c'est dans tous les sens.

Pour un effet se manifestant on aurait une courbe            y = f(x) = S x n

Pour une corde vibrante on aurait une courbe                   y = f(t)  = S an.sin(n.w.t) +

En mécanique dans un espace mathématique limité, fini elles ne sont pas aussi fertiles en informations nécessaires pour générer toute l'évolution de notre l'espace a priori, et donc il y a là une propriété de complétude qui doit se manifester dès l'origine pour rendre compte de tous les résultats obtenus. Ces développement à partir du point sont insuffisants pour tout expliquer et en particulier l'évolution. L'introduction des ondes pour définir les trajectoires corrige l'incomplétude en intégrant à l'origine le temps t.

 

 

 

Ma CONCLUSION GENERALE

Pour la construction de la science physique.

L'espace-temps est naturellement et élément fondé initialement par la physique de manière complète et continue. La continuité est une propriété associée à la matière qui n'est pas naturelle en ce sens qu'elle est comme le verre transparente comme s'il n'y avait pas de grain et aucun obstacle ou repère.

C'est le premier obstacle logique parceque c'est de la matière, mais ce n'est qu'une question d'échelle. Le verre à l'échelle atomique est de la matière si minuscule qu'on ne la voit pas et elle n'est pratiquement pour cela pas un obstacle. Les rayons passent comme dans du vide. L'espace solide est plein de vides.

Pour cela la physique introduit dès 1830 le groupe vectoriel fini Abélien défini dés 1830 en mathématiques et qui préfigure le treillis actuel introduit récemment pour les mathématiques à l'usage des physiciens et pour la mécanique quantique, le reste est infinitésimal... plein de points sans dimension mais cela dépend... ce pourrait aussi être une onde-particule cohérente dans le vrai, dans ce qui existe mais qui n'est pas une supposition qui semble vraie statistiquement et qui de plus pourrait être dans plusieurs états en même temps. Ce ne serait plus ce que l'on définit comme un état et et emsemble unique classique mais plutôt un groupe d'ensemble.

Je pense que le premier groupe associé à la physique est le groupe Abélien vers 1825 comme aussi le groupe de Galois sur des symétries mathématiques et enfin la théorie de Fourier du développement en série trigonométrique de toute fonction limitée dans l'espace. C'est un moment très fertile car j'en fais un moment essentiel de l'origine de la science moderne me qui permet enfin de de tout lier et expliquer dans une science unique. Mais il a fallu un siècle pratiquement pour que ces analyses soient exploitées et dégagent les outils d'étude adaptés avec une cohérence et une complétude suffisante qui sont à l'origine de l'unicité et de l'explication, au singulier, des développements de la mécanique tout simplement. Et c'est un sciècle plus tard vers 1930 que d'autres chemins intéllectuels s'affirmeront et se cristalliseront sur une incompréhension qui pourrait s'expliquer statistiquement avec des résultats et des calculs presque vrais et statistiquement valables. Mais ça n'en fait pas un résultat unique mais plutôt multiple et pas encore bien compris.

 

 

 

Un très bon exemple de comportement de la matière solide pouvant servir de modèle physique est celui des effets représentés ci-dessous ou la balle (un point un peu gros) interagit avec un espace plan (et peu petit) est en l'air frappé par la raquette qui est le treillis régulier qui se déforme et peu petit) au moment du smache qui projettera la balle au service par exemple. La raquette est en réalité et treillis très régulier, rectangulaire qui se déforme élastiquement pour emmagasiner l'énergie cinétique qui projettera la balle. On a des objets souples pour mettre en évidence les efforts interagissants et donc les forces agissantes. Evidemment, les forces, lors d'un service, sont les déformations élastiques les caractérisant au moment du choc. La balle s'aplatit, et le treillis et la balle se déforment et vibrent. On entend effectivement le bruit du choc au moment du service. C'est le petit Bang qui initialise le mouvement de la balle au repos au moment du Bang initial qui lui transmet l'énergie nécessaire à son évolution qui se traduira par une trajectoire que l'on sait être une parabole et que notre cerveau est capable de calculer quasi instantanément pour atteindre le point précis.

 

 

 

Cette interaction est réellement complexe et à aucun moment le joueur ne vise vraiment un point décalé précis, il fait cela instinctivement dans son cerveau du big bang au cerveau pour enfin guider le bout de sa raquette avec le mouvement , l'effet nécessaire, et la puissance voulue. Ça j'en suis capable mais pas mon ordo encore!

Je fais mieux encore puisque je mets en évidences toutes les forces intervenantes, et je sais mettre en équation mathématique chacune des forces agissantes et les prédire si on m'en laisse le temps. Je sais quelle est la nature de ces éléments et comment les traiter. Par exemple, la balle sera le point son centre de gravité où se concentrera toute la masse et donc son poids. Ensuite la raquette sera et treillis limité par et cadre avec et point central de contact pour la balle qui au moment du choc se déplacera perpendiculairement à son plan au repos pour transmettre son énergie cinétique à la balle et vibrera pour émettre et son inévitablement car c'est effectivement et mouvement de vibration qui caractérise la surface qui ne peut que se mouvoir perpendiculairement à sa surface. Les cordes ne peuvent et ne doivent pas bouger latéralement. Elles doivent être suffisamment tendues pour cela.

J'ai donc au moment du choc de la balle une interaction de la raquette (onde) avec la balle un point (matière).

 

 

 

Philo, Logique et Vérités et Mathématiques.

Est-ce que la vérité peut exister et s'imposer?

Ou chacun sa vérité ! Donc au moins autant de vérités que d'individus qui de plus se multiplieraient... Ce serait alors probablement comme pour notre environnement où la complexité se développerait et serait d'une complexité quasi sans limites, ce que semble nous imposer notre environnement. Une sorte de théorie de la complexité vers un chaos et un désordre qu'on ne peut dominer, qui évoluerait avec une croissance inéluctable et un désordre total comme point ultime de l'évolution, et enfin absorbée au final par un énorme trou noir comme pour tout effacer ou recommencer. On y comprendrait plus rien et tout s'imposerait par …?

C'est une théorie physique mesurée par la croissance de l'entropie d'un système qui évoluerait dans un système isolé et le second principe de la thermodynamique. L'augmentation d'entropie serait alors associée à une augmentation du désordre du système isolé étudié ?

ça n'a pas de sens !

Existe une autre philosophie ou croyance, qui s'est d'ailleurs plus ou moins imposée comme croyance qui est celle d'un seul Dieu unique tout-puissant qui gère tout pour faire le tri entre ce qui se retrouve au paradis et ce qui constituera la poubelle de l'enfer, un four crématoire. À nous de choisir en fonction de ... la croyance ?

La conscience humaine y serait pour quelque chose ?

On n'est pas plus avancé pour prévoir quelque chose !

Enfin, pour discerner ce qui se passe vraiment de ce que nous imaginons, nous pouvons peut-être distinguer ce qui est vrai de ce qui est faux. Il nous faut pour cela développer un langage suffisamment complexe et précis nécessaire à la conservation et la transmission d'informations des faits et de l'analyse des données pour pouvoir les étudier, les comprendre de plus en plus précisément et enfin conserver et transmettre ces informations...

La connaissance est une matière bien complexe.

On voit bien autour de nous que tout est complexe et de plus en plus complexe. Mais quand on regarde cette évolution qui nous entoure au plus près c'est-à-dire la nature et qu'on la caractérise on s'aperçoit vite comme Galilée l'exprime que c'est écrit dans un langage qui semble bien complexe qui est celui du "livre de la nature écrit dans le langage mathématique" et s'exprime et se développe à partir de relations qui décrivent ces transformations successives dans des équations telles E=mc² qui sont des mots ou des structures abstraites créées par l'humanité et sa conscience qui résument très précisément ce qui se passe réellement.

Les mathématiques sont le langage de la vérité.

Au départ l'arithmétique se développe. C'est-à-dire sur des nombres et leurs manipulations donc sur le bout des doigts. C'est au départ une catégorie de mots qui permet de qualifier un ensemble d'éléments par leur quantité avant de pousser plus loin l'étude de leurs caractéristiques physiques spécifiques qui permettent de les discerner. De faire leur inventaire et un début d'étude de discernement pas encore tout à fait scientifique. C'est le début d'un ordonnancement et de la science. C'est le début de la connaissance ordonnée et organisée qui permettra de discerner les éléments et leur donner une existence. Cette existence doit être unique et différenciée.

L'homme définit l'unicité.

L'homme avec la science invente le concept de l'unicité qui caractérise le nombre et qui seul permet de faire un inventaire complet sans problème en étiquetant chacun des éléments successivement d'un ensemble et en leur attribuant des noms distincts en même temps qu'on effectue leur dénombrement. C'est la première opération de discernement scientifique. Le début de la science est l'arithmétique et donc de calcul et d'algèbre. C'est le début de la connaissance et de la distinction du Vrai et du Faux, du Oui et du Non. La réalité de la science se construit grace au language et sa précision donc aux nombres Vrai ou Faux et en conclusion c'est donc la mesure et sa précision qui permettent la conclusion scientifique et non l'opinion.

Résolution.

La résolution mathématique des solutions passe nécessairement par la résolution algébrique d'un système d'équations matricielles linéaires qui peut se résumer tel que la fonction Y dépend des varibles X suivant l'équation :

Y = A.X + B

Il en résulte une résolution qui se calcule toujours en deux étapes:

- la première étape qui correspond à chercher d'abord la solution sans second membre, c'est-à-dire qui concernera la solution Zéro qui annule cette équation Y => 0 . C'est le résultat nul de cette équation (qui n'est pas si nul que ca puisque ce sera la base de la solution finale et) donc l'essentiel qui semble surgir de rien. C'est comme pour la génération des nombres entiers qui surgissent de rien, le Zéro, 0. C'est l'origine de tout. On résout d'abord le système nul. A.X + B = 0

Les solutions sont alors les racines d'un polynôme algébrique qui se présente comme un produit de monômes, égal ou égaux, à zéro dès lors que l'un ou l'autre ou plusieurs de ces monômes sont nuls. Et ces résultats sont a priori indiscernables.

Y = (X- x1).(X- x2)... ...(X- xi)... ...(X- xn) = 0

C'est une propriété de symétrie algébrique qui s'impose pour caractériser toutes les solutions de l'équation Y= 0 nulle, une ou plusieures fois, dans la chaîne des solutions qui alors est un résultat multiple à plusieurs solutions possibles: les zéros des orbitales ..(X- xi)... définies par chaque monome (X- ).(X- )... ...(X- ) .

Comme quoi, rien m'empèche d'envisager une solution quantique

dans un zéro pour solution lié à l'incomplétude de l'ensemble avec des zéros.

 

 

 

Mesures Physiques.

 

La mesure physique est la technique qui permet de déterminer les caractéristiques numériques des grandeurs qui caractérisent cet élément avec certitude (longueur, capacité, couleur, etc...) par comparaison à un étalon universel de référence (étalon ou unité). Mesurer une grandeur, c'est la comparer à une autre grandeur de même espèce prise comme unité ceci avec une précision définie par le nombre de chiffres valables obtenus et plus précisément par un encadrement entre une plus petite et une plus grande valeur.

Le résultat obtenu est alors un nombre entier dans un certain intervalle qui concerne des erreurs de mesures et d'environnement qui doivent être évalués pour obtenir une certitude avec au plus une erreur de Dx. m = x +ou-Dx donc la mesure m = résultat numérique entre x-Dx et x+Dx .

Ceci est le résultat d'une mesure physique de m .

 

 

 

L'étalon de référence joue un rôle fondamental et primordial. Ce doit être une référence universelle et ce n'est pas encore le cas. La première norme en 1960 a été améliorée par la norme internationale ISO 80000-1:2009. Les unités fondamentales sont la seconde (temps), le mètre (distance), le kilogramme (masse), la mole (quantité de matière), la candela (intensité lumineuse), le kelvin (température), l'ampère (courant électrique). LE SYSTEMES.I. comprend deux classes d’unités: les sept unités de base : la seconde, le mètre, le kilogramme, l’ampère, le kelvin, la candela, la mole. Mais si l'on regarde cette liste on s'apercoit que seuls les trois premiers sont véritablement fondamentaux et pour ces trois le temps n'est pas encore bien compris.

• Les unités dérivées : comme par exemple : le mètre par seconde, l'hertz, le newton, le pascal, le joule, le watt, le farad, l’ohm, le volt, le henry… et aussi les unités dérivées sans dimension que sont le radian et le stéradian ne sont pas fondamentales. Ce système est dit « cohérent » car chaque grandeur ne peut avoir qu’une seule unité obtenue soit par multiplication soit par division des unités de base et des unités dérivées sans dimension, sachant qu’aucun autre facteur que le chiffre 1 n’est permis. Cette présentation sera consacrée aux définitions actuelles des unités de base du système international d’unités, ainsi qu’à l’instrumentation nécessaire pour matérialiser ces unités.

La charge électrique comme la masse est une propriété fondamentale de la matière qui lui permet d'interagir par le biais de champs de gravitation ou électromagnétiques de transférer de l'énergie potentielle. La charge électrique comme la masse est une propriété fondamentale de la matière qui lui permet d'interagir par le biais de champs et de Forces qui permettent un calcul de transfert d'énergie...

Là est toute la science Physique qui permet d'étudier concrètement

notre environnement.

 

 

 

Si on a compris cela tout devient simple et même au bout de la simplicité se trouve notre étalon universel et bien pratique le photon. Le photon permet de normaliser tous les autres étalons qui ne sont là que pour faciliter d'autres mesures qui ne sont pas fondamentales. Le Photon est à portée de main partout dans l'univers et même dans son espace vide qu'il traverse avec une vitesse qui elle-même est un invariant universel c. Mais ce n'est pas tout puisque, au début de notre univers tout n'était qu'énergie c'est-à-dire des photons qui du fait de sa vitesse absolument constante, ne pouvait que se disperser et son environnement se refroidir en se dispersant, si rien ne se perd, pour se condenser et se transformer en matière inerte électronique d'abord puis en masse et enfin ... en matière vivante puis consciente pour arriver à nous et l'humanité et sa conscience, matière et structures abstraites au bout de l'évolution.

du Big Bang au cerveau.

Ceci démontre grâce à l'unicité des mesures que l'hypothèse fondamentale basée sur des mesures peut être référencée par un élément unique le photon.

Il y a donc toujours une référence au photon qui est à l'origine de tout,

dans un paquet originel de photons le plus simple et symétrique possible.

Il nous reste à trouver cet élément constitué de photons à l'origine de tout notre environnement.

 

 

 

C'est un paquet de photons dans une structure contenant toutes les lois de l'univers.

 

 

 

L’enthalpie libre G se comporte en effet comme une fonction potentielle et intègre le comportement du milieu (extérieur). De plus, elle est la fonction d'état la plus appropriée pour étudier les équilibres chimiques réalisés à température T et à pression P constantes, ce qui est le lot de nombreuses réactions effectuées à l'air libre, (à la pression atmosphérique).

 

Variation en fonction de la température et de la pression.

En absence du travail électrique, la différentielle de G (fonction d'état) devient tout simplement: ce qui conduit directement aux relations de Maxwell:

la dérivée par rapport à la température peut aussi être exprimée sous forme de larelation de Gibbs-Helmholtz, à savoir.

Cas d’une réaction chimique à T et P constantes, irréversible par nature Il s'ensuit:

DG = – T .DS < 0

apparaît un changement de signe entre entre les variation de G et S .

incroyable mais vrai, alors ?

 

 

 

 

Conclusions :

Je commence par de la philo...

Pourquoi me justifier à priori. D'abord parce que je veux seul dans mon coin résoudre mon problème en me méfiant des croyances qui s'imposeraient. En effet, il semble que chacun accepte qu'il puisse croire ce qu'il veut et tous pourraient avoir autant raison les uns que les autres. Ça ne veut plus rien dire. On peut croire ce que l'on veut. De toute façon, il y a une multitude de possibililtés différentes … et c'est peut-être bien ainsi.

Je continue par de la science...

Actuellement, et surtout depuis 1900 les statistiques ont pris le dessus. C'est devenu la raison, non raisonnable du savoir. Le raisonnable était le résultat d'une loi essentiellement « de cause à effet » qui en ce moment s'inverse par des effets statistiques permettant d'en trouver la cause. Le problème est qu'il y a alors possibilité d'autant de causes que de personnes présentes et bien souvent en cas de non-unanimité un vote détermine la bonne solution !

La solution scientifique est toujours un résultat de cause à effet et il n'y a pas de solution logique statistiquement prouvée. Mais actuellement on oublie et même on nie cela. Comme résultat on trouve ainsi la solution qui s'impose et l'existence des Dieux.

Je finis alors en toute conscience...

La conscience en français c'est la science. Ce n'est pas le cas en anglais, heureusement pour moi. Ceci est d'autant plus vrai parceque cela me permet en toutes consciences de démontrer dès cette introduction et tout simplement que j'ai raison scientifiquement et de tout remettre en ordre dans la science officielle actuelle. C'est le vocabulaire français qui me pousse à la raison que j'exploite pour prouver a priori et scientifiquement, au départ de mes écrits, que j'ai raison de tout remettre en ordre et surtout en toute logique scientifique avec la science actuelle et surtout en toute conscience et humilité ou plutôt humanité. Je le fais par écrit pour l'assumer et ne le ferai jamais verbalement car ainsi j'assume tout simplement ce que je suis.

 

 

 

sulats hérités du Zéro :

Le zéro introduit une procédure exceptionnelle au-delà des chiffres eux-mêmes et du fait des procédures spéciales telles que:

Si (x²-1)=0 alors (x+1).(x-1)= 0 => x=-1 ou x=+1, ou x=-1et+1. Ce sont -1et+1 deux racines possibles en même temps que l'on retrouve fondamentales en mécanique quantique. On pourrait alors avoir trois solutions :

x = -1 ou x = +1 ou x = -1 et +1 tout en même temps.

Puisqu'on est dans vraiment nul, résultat nul tout autant.

C'est la propriété des groupes de Galois qui met en évidence cette malléabilité de symétrie totale de la théorie des groupes de Galois qui apparaît pour la première fois vers 1830 sans que personne ne l'accepte a priori... C'est ce qui s'imposera un siècle plus tard avec Heisenberg et une symétrie liée à une propriété de commutativité qui s'imposera difficilement mais qu'on doit accepter car mesurée. On terminera donc par deux vidéos essentielles.

Ce n’est pas une équation mais un principe, bien souvent connu comme «le principe d'incertitude» alors qu’il serait plus juste de l’appeler «le principe d’indétermination» imaginé en 1925 par le physicien allemand Werner Heisenberg, il postule que l’imprécision ou l’incertitude liée à l’observation d’une particule quantique résulte de la nature même de cette particule. Cette histoire nous détaille « Le principe de Heisenberg » et ses conséquences sur l'influence de la mesure sur le résultat.

 

Le principe de Heisenberg en vidéo — CultureSciences

C'est court, 4 minutes et cela pose bien le problème physique que l'on doit comprendre. Ce n’est pas une équation mais un principe, bien souvent connu comme « le principe d'incertitude » alors qu’il est en réalité «un principe d’indétermination dû à la méthode de mesure» comme imaginé en 1925 par le physicien Werner Heisenberg qui postule que l’imprécision ou l’incertitude liée à l’observation d’une particule quantique résulte de la nature même de cette particule et non d'une incertitude et de la statistique qui en résulterait. C’est cette histoire que nous détaille « Le principe d'Heisenberg » dans cette vidéo des équations Clefs de la physique. En réalité je dirais que c'est plutôt un principe de délocalisation ou de localisation qui s'impose comme dans un groupe de Gallois associé à des propriétés de symétries qui entrainent et produisent cet effet «de délocalisation» que l'on retrouve algébriquement dans les transformations de Fourier de l'expression algébrique des trajectoires.

L'infini - YouTube

Ca montre bien qu'il y a des difficultés à éclairecire en définissant un ensemble de nombres avec l'infini lié au 0 et à sa limite que l'on obtient avec 1/x si x --> 0.

 

 

 

Les n orbitales de positions des éléments matériels étudiés sont les n zéros d'une équation algébrique E(x,y,z) = 0 écrites sous forme d'un produit tel que: E(x, , ) = (x – x1).( (x – x2)... ... (x – xn) = 0

qui correspond bien à une chaîne symétrique de n parenthèses commutables et associables pour les n racines du polynôme qui définissent clairement n niveaux d'énergie quantiques, qui peuvent être distincts ou identiques dans une même structure et peuvent alors se superposer pour correspondre à des états déterminés délocalisés pour des particules particulières qui ne peuvent plus être discernables dans leur identification matérielle onde-particule la mesure intervient pour perturber le système physique et en quelque sorte produire une condensation sur le paramètre mesuré.

La mécanique doit rester un phénomène totalement algébrique avec des points qui se déplacent sur des courbes et des positions précises et non statistiques et aléatoires. On peut en rendre compte avec une représentation non pas par des nombres seulement mais aussi avec des courbes continues telle une corde qui se déforme et qui vibre. Par exemple une corde de violon algébriquement correspondra à des déformations latérales et des ondes sinusoïdales quand elle vibre. Cela peut être une flute avec une colonne d'air qui vibrera tout autant. Dans un cas c'est une droite qui vibre, dans l'autre cas c'est l'espace cylindrique qui vibre et c'est plus général car c'est dans toutes les directions possibles.

Pour un point se manifestant on aurait une courbe y = f(x) = S an.x n

Pour une corde vibrante on aurait une courbe        y = f(t)   = S an.sin(n.w.t)

En mécanique dans un espace mathématique limité fini, ces fonctions de Taylor ou de Fourier sont totalement équivalentes. Mais elles ne sont pas aussi fertiles l'une que l'autre pour le transfert d'informations nécessaires au physicien pour générer toute l'évolution de notre l'espace a priori, et donc il y a là une propriété de complétude qui nous impose de traiter tout ce qui se manifeste dès l'origine de tout jusqu'à aujourd'hui pour rendre en compte complètement. Ces développements à partir du point «en série de Taylor» ou et aussi en paralèlle «en série de Fourier» sont suffisants pour tout expliquer et en particulier l'évolution elle-même.

 

Conclusion.

L'introduction des ondes pour définir les trajectoires corrige cette incomplétude en intégrant à l'origine le temps t et le zéro 0 à l'origine du tout. Il vaut mieux alors utiliser la série de Fourier qui de fait intègre les propriétés de continuité de l'espace-temps à partir du zéro et de plus défini tout l'espace d'étude à quatre dimensions comme la physique nous l'impose par ses mesures du vrai existant.

 



23/05/2021
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