Du Big Bang au Cerveau

Du Big Bang au Cerveau

2-9 Synthèse de l'Evolution

 

Synthèse de l'évolution.

 

 

 

 

Introduction

 

 

1- Introduction à la synthèse et à l'évolution.

 

 

La synthèse doit nous mener du plus simple au composé. C'est le procédé de reconstitution et de la recherche du raisonnement qui permet la recomposition. C'est le chemin de l'évolution et probablement aussi celui du fonctionnement du cerveau.

 

Si c'est cela, c'est à la fois les outils et la boite à outils adaptée aux matériaux et aux structures réalisées et transformées qu'il nous faut trouver. C'est le coté technique et scientifique de ces éléments qui m'intéresse car ils sont mesurables. Quels en sont les outils? Essentiellement les chiffres, les lettres, leur syntaxe et structures. C'est ce qui nous permet d'exposer et de comprendre comment ça fonctionne, donc ce qui est?

 

J'ai trouvé la boite à outil et c'est une fonction mathématique: le Lagrangien qui nous permet de bricoler tout ce qui nous entoure avec efficacité d'abord par sa simplicité et sa facilité actuelle d'exploitation: L(x,p) = p²/2m+V(x). Ça nous permet surtout actuellement de comprendre et de modifier tout notre environnement physique dans les moindres détails. Ceci avec une précision considérable de l'ordre de 10-12 ce qui valide nos connaissances avec le plus d'impartialité. De plus la résolution numérique de ces équations est devenue une opération sans problème grâce à l'informatique.

Cette équation, le Lagrangien, est toute simple. Elle décrit l'évolution des systèmes Physiques. Le Lagrangien L(x,p) est une fonction qui nous indique quels sont les paramètres caractéristiques indépendants ici x et p et permet d'effectuer le calcul de leur valeur x pour la position et p pour la quantité d'action ou de mouvement qui interviennent dans l'évolution étudiée. C'est le signe = qui nous indique ce qui intervient dans les calculs à effectuer soit ici p²/2m+V(x) qui est la somme de l'énergie cinétique p²/2m et de l'énergie potentielle +V(x) donc de toute l'énergie du système.

Le Lagrangien L(x,p) est la structure qui représente notre boite à outils qui permet comme pour la formule d'Einstein E=mc² de calculer toutes les transformations du système étudié.  (E = mc² transforme la masse m en énergie E).

Ce qu'il nous faut déjà remarquer c'est que toute l'évolution de notre système ne provient que de l'énergie totale au second membre de l'égalité. C'est, le moteur unique de toutes les transformations. Ce sont les flux d'énergie E qui s'accompagnent d'une croissance d'énergie Q qui définit les flux d'Entropie Q/T qui mesurent les progrès des changements et des structurations de l'évolution.

Il nous reste pour mesurer le progrès de l'évolution à mesurer les flux d'énergies et surtout d'Entropie Q/T. Ce seront alors les chemins les plus courts et les plus performants qui s'imposeront suivant le principe de moindre action ou quantité de mouvement p =mv . Les structures elles même sont comme en mathématique ci dessus, une matière intellectuelle abstraite, porteuses d'informations qui évoluent de même et en même temps que les transformations qu'elles décrivent.

 

Les outils seront les variables d'états et les équations d'états qui définissent le système étudié et que l'on obtient en résolvant les équations différentielles du système.

 

Reste enfin à étudier et à mesurer les progrès de la théorie de l'information pour étudier au plus prés toute l'évolution de notre monde et ses progrès, et pour cela nous pouvons nous appuyer sur des exemples d'intelligence artificielle en informatique ou naturelle tel une ruche ou une fourmilière, mais pas que ça.

 

 

 

 

2- Introduction à la Mesure Physique.

 

La mesure physique est le domaine de la technique. C'est le fondement de la science. Pour ce qui nous intéresse c'est le début et la base de la connaissance matérielle des éléments ou objets utilisés et étudiés. Elle est fondamentale dans la plupart des champs scientifiques (physique, chimie, biologie, etc.). Elle est essentielle à un grand nombre d'applications industrielles et commerciales allant de la caractérisation, de l'ingénierie à la production de produits.

La mesure physique est une quantification de critères de connaissances, d'informations, qui facilite une comparaison et permet un choix plus objectif. Sans élément mesurable le risque est grand de voir des malentendus s'installer et un critère quantitatif permettra une mesure qui se fera souvent de façon «mathématique».

Les mathématiques permettent des développements logiques synthétiques de «cause à effet» qui permettent de réunir les éléments fondateurs de nos connaissances. Cela nous permet de synthétiser les éléments que nous étudions. Mais les mathématiques ne portent pas de jugements sur les valeurs obtenues qui ne sont que des possibilités de résultats. Le vrai et le faux ne sont que des possibilités d'obtention. Par contre en Physique l'étude mathématique ne porte que sur des résultats naturels qui nous entourent et en ce sens ils sont vrais. C'est l'étude de la nature qui est notre environnement et qui existe vraiment.

La métrologie est la science des mesures et la mesure physique utilise des étalons qui sont nos références matérielles reproductibles et universelles. Notre étalon universel est le photon g c'est à dire un grain d'énergie fondamental de lumière. Il est défini par ces paramètres depuis 1983 ( 2-5 Et le Photon est ? ) qui sont:

La seconde est la durée t de 9.192.631.770 périodes T de la radiation correspondant à la transition entre les niveaux hyperfins F=3 et F=4 de l’état fondamental 6Cs½ de l’atome de Césium 133.

Le mètre est la distance parcourue x en 1/299.792.458 de seconde par la lumière dans le vide à la vitesse constante c = 299792458 m/sec. La vitesse de la lumière dans le vide est une constante universelle. Ceci permet une précision des mesures à 10-12 près par extrapolation.

Le Joules est la quantité d'énergie  E= h.n  transporté par le photon considéré de fréquence n . La constante de Planck  

h ≈ 6,626 070 040 × 10−34 J s.

C'est à dire que l'on peut affirmer un résultat numérique avec 12 chiffres exacts tel : 123456789012.

Il faut signaler que la vérification des lois de la chute des corps à 10-15 près est le but de la mission Microscope, actuelle dans l'espace en apesanteur, qui effectue une mesure où il s'agit de vérifier que la masse de gravitation est identique à la masse d'inertie qui actuellement ne sont pas différentes à 10-12près. La force de gravitation vous pousse vers le sol indépendamment de votre déplacement alors que la force d'inertie intervient en mouvement et vous plaque contre le dossier de votre siège à l'accélération du déplacement de votre véhicule.

 

 

 

 

3- Introduction à la Théorie Physique.

 

La Théorie physique de l'évolution sera la loi Physique qui décrit actuellement notre environnement avec une précision suffisante pour être vraie à l'échelle de notre monde. Comme nos mesures nous permettent une précision de 10-12 ce sera la limite validant notre théorie. Cette limite sera probablement repoussée à 10-15 très prochainement et dans ce cas on atteindrait le début de l'univers qui est à 13,7Milliards d'années lumière ce qui correspond à 432.1015 secondes avec une erreur de 7 minutes seulement ce qui correspondrait à la distance Terre-Soleil. C'est une distance directement abordable et donc vraiment négligeable dans l'univers.

De ce fait, notre univers est effectivement limité et peut être précisément étudié dans ses moindre recoins. Par ailleurs, on dispose d'un étalon de mesures, le photon qui nous garantit avec une précision de 10-12 une bonne connaissance des particules et des éléments fondamentaux. L'Atome, qui est notre brique de base, a des dimensions de l'ordre de l'Angstrom soit 10-10 mètre bien au dessus de l'erreur.

On a atteint depuis peu les limites qui nous permettent de connaître notre environnement avec une bonne certitude scientifique. Nos mesures sont en conformité avec nos développements théoriques et c'est ce qui nous permet d'affirmer que nous somme dans le vrai parce que c'est juste et de plus quasi complet. Ce que l'on ne connaît pas c'est ce qui est en dessous de 10-12 seconde au début du Big Bang. C'est la période initiale, celle de l'inflation de l'univers. Il nous reste a compléter nos connaissances de base mais on peut s'en tirer par le principe de conservation globale pour extrapoler ce que l'on constate physiquement.

La théorie de la connaissance est d'abord Physique, globale et universelle. C'est elle qui régit notre environnement par ses mesures structurées par les mathématiques et leur logique. Cette Théorie Physique est la Thermodynamique qui traite des fonctions d'états et de leurs variations. Ce sont des fonctions mathématiques qui relient des variables caractéristiques de l'état du système. Prenons un exemple: l'atmosphère pour essayer de caractériser le temps qu'il fait par des mesures de météorologie. Le système étudié sera caractérisé par son Volume V, sa Température T, sa Pression P, ... et comme c'est essentiellement du gaz on associera peut être dans ce cas la loi du gaz parfait P.V=R.T qui est une fonction d'état au départ intuitée donc empirique car vérifiée expérimentalement et non démontrée de cause à effet. Le météorologue va faire des mesures de Pression avec un baromètre, de Température avec un Thermomètre, d'Humidité avec un hygromètre, .... pour en déduire l'évolution du temps avec la Température T dans le temps t avec une horloge.

Bien, il nous reste à trouver cette loi universelle. C'est une fonction mathématique simple et donc unique qui régit toute l'évolution de notre environnement. Cette fonction c'est l'équation du mathématicien Lagrange qu'on appelle le Lagrangien utilisée pour résoudre des systèmes d'équations différentielles c'est à dire qui intègrent des variations donc le temps et que l'on peut résumer par:

 

L(x,p) =   p²/2m+V(x) = énergie totale du système.

 

 

 

 

 

4- Introduction à la Logique .

 

Avec ses collègues Ofer Feinerman et Assaf Rotem démontrent récemment que des neurones peuvent être utilisés comme des composants électroniques et publient dans Nature de nouveaux résultats concernant la possibilité de manipuler la croissance et les interconnexions de cellules nerveuses in vitro. Leur but est de savoir si l'on pouvait réaliser de cette manière des interfaces électroniques entre le cerveau et d'autres circuits électroniques. Pour fonctionner, un circuit de neurones doit être tel que chacun d'eux soit connecté à un grand nombre d'autres neurones, par le buisson de dendrites (qui assurent en entrée la réception des données) et par l'axone (qui en sortie envoie ses signaux à d'autres neurones).         Les chercheurs se sont aperçus que dans leur dispositif, il existait un seuil pour le nombre d'axones si on veut réaliser des portes logiques. Il en faut au moins une centaine, organisés en faisceaux. Ce seuil permet de sélectionner les informations majoritaires. Et en manipulant ces faisceaux d'axones entre de petits groupes de neurones, il est possible de réaliser des portes universelles logiques NAND qui à elle seule permet d'exprimer toutes les fonctions logiques de base OUI, NON, ET, OU.

On cherche à modéliser le fonctionnement du cerveau humain à l'aide de circuits électroniques obéissant à ce que l'on pense être les lois d'un réseau de neurones. L'inverse est aussi possible, comme le prouvent des chercheurs de l'Institut Weizmann qui ont créé des circuits électroniques avec de vrais neurones.

Les neurones transmettent aussi des signaux électriques. Les changements de potentiel électrique dans les neurones sont contrôlés non seulement par l'activité synaptique mais également par une activité électrique intrinsèque. Ainsi, certains neurones ont la faculté de se dépolariser et de s'hyperpolariser de façon cyclique, indépendamment de toute influence extérieure. De telles oscillations sont dues à l'activation de deux types de canaux produisant un flux d'ions respectivement hyperpolarisant et dépolarisant, tels que, par exemple, les canaux perméables au calcium (dépolarisants), ouverts par la dépolarisation, et les canaux perméables au potassium (hyperpolarisants), ouverts par le calcium intracellulaire. Une oscillation commence avec l'ouverture de canaux perméables au calcium, qui produisent à la fois une dépolarisation et un influx de calcium dans la cellule. Le calcium s'accumule à l'intérieur de la cellule, et, lorsque sa concentration est suffisamment élevée, elle provoque l'ouverture des canaux perméables au potassium.... et un nouveau cycle commence. Les oscillations électriques des neurones jouent un rôle important dans le contrôle des activités rythmiques de l'organisme (comme la locomotion ou la respiration).

D'une façon générale, les réseaux de neurones sont actifs de manière permanente, dans le système nerveux peu évolué des invertébrés comme dans le cerveau humain. Cette activité n'est pas nécessairement due à la continuité des expériences sensorielles. En l'absence de stimulation sensorielle, les enregistrements électroencéphalographiques attestent de la persistance de l'activité électrique du cerveau. Durant le sommeil profond par exemple, ces enregistrements montrent l'existence d'oscillations du potentiel électrique à la surface du cerveau qui résultent de la synchronisation des oscillations d'un très grand nombre de neurones.

 

 

 

 

5- Introduction aux mathématiques physiques.

 

Les mathématiques se sont introduites d'abord par une métrique s'appuyant sur des nombres, une structure de nombres qui nous servent de mesures et que l'on doit pouvoir apprécier et surtout comparer. Historiquement ceci peut être daté vers – 600 à partir de Thales et de Pythagore qui utilisent alors une algèbre numérique naissante qui par la suite avec Newton et Liebnitz, vers 1700, se développera avec le calcul différentiel et l'expression de la mécanique classique par des formules : F =mg .

 

Plus tard, disons après 1800, apparaitra une algèbre plus générale avec une théorie des ensembles et la théorie des groupes: groupes Abéliens, Groupe de Gallois vers 1820. Le Lagrangien en 1780, pouvait regrouper déjà un ensemble de variables d'état définissant un groupe de variables d'état numériques physique ayant des propriétés de symétries particulières. L'Hamiltonien et l'espace de Hilbert en seront les développements naturels qui vers 1920 permettront à la mécanique quantique de s'exprimer: Le Lagrangien L(x,p) =p²/2m+V(x) est une structure de nombres qui décrivent un système physique associé à une énergie totale.

 

En 1850 est développé en logique l'algèbre de Boole. Vers 1950, la théorie de l'Information se développe qui englobe des ensembles généralisés de signes et de nombres attachés à des éléments concrets et abstraits. Ces éléments sont actuellement traités en Informatique où ce sont des données soit pour en extraire de l'information soit pour obtenir une réaction robotisée. On n'est pas encore dans la réaction vivante mais presque.

 

On peut remarquer que souvent ce sont les structures mathématiques qui précèdent leur contenu. C'est le cas du lagrangien qui en soit développera l'Hamiltonien et surtout les propriétés physiques d'invariance et de superposition . L'exemple est aussi dans l'équation de Schroedinger qui en découle à travers l'équation de Hamilton fonction non plus directement de variables d'états mais d'une structure vecteur d'état l ψ > des variables. Un état quantique est ce qui quantifie ce que l'on peut savoir d'un système quantique. Il permet de calculer les probabilités et les valeurs moyennes mesurées des observables (position, quantité de mouvement etc.). Les états quantiques sont décrits mathématiquement par des vecteurs d'état... Schroedinger publia en 1944 un essai intitulé "Qu'est-ce que la vie ? — Wikipédia", Il y introduisait l'idée d'un «cristal apériodique» où l'information génétique serait contenue dans la configuration des liaison covalentes et donna une description théorique précoce du fonctionnement du stockage de l'information génétique dans l'ADN qui sera décrit bien plus tard en 1953 et décodé par interaction avec des protéines et des enzymes. Il a là aussi une intuition sur ce qu'est l'information qui se transmet par la Vie et qui porte en soit la vie à partir de lois physiques fondamentales.

 

Cette extension des possibilités d'exploitation est probablement inhérent dans le fonctionnement du cerveau lui même a tendance a regrouper les éléments dans des branches de structures équivalentes pour en faire ressortir les équivalences. La construction du langage lui même utilise aussi le regroupement des racines et leur concentration pour optimiser l'efficacité du langage. Cela suppose un assemblage des neurones global hexagonal pour être minimisé en extension et une détection des flux les plus importants en énergie pour y déceler la croissance d'Entropie servant à découvrir ces nouvelles structures les plus efficaces.

 

 

 

 

 

 

6- Introduction aux Big-Bangs.

 

On en voit trois: l'Univers, la Vie et la Conscience qui apparaissent sans explication satisfaisantes, comme sortis du fond d'un chapeau.... mais pas encore du Cerveau. Ca explique mon titre du Big-Bang au Cerveau. On part de la matière pour arriver à l'intellectuel, de l'inadvertance à la connaissance, de l'inconnu à la science.

 

L'apparition de la Conscience doit être datée si c'est un fait réel. Au premier abord ca veut dire avec science et logiquement. La logique, du grec λογική / logikê, est un terme dérivé de λόγος / lógos — signifiant à la fois « raison », « langage », et « raisonnement » — est, dans une première approche, l'étude des règles formelles que doit respecter toute argumentation. Ce sont les règles qui régissent le cerveau et qui nous permettent d'affirmer ce qui est, ce qui donc existe. "Je pense, donc je suis". Mais, le problème de fond est plus simplement celui du vrai et du faux. Le vrai est à priori ce qui est palpable c'est à dire c'est d'abord notre environnement et sa description. Auparavant, l'expression «sciences physiques» était un simple synonyme de l'expression «sciences naturelles». Le terme «physique» vient du grec η φυσικη (ê physikê) adopté dans le monde gréco-romain, signifiant «connaissance de la nature». La physika ou physica gréco-romaine est étymologiquement ce qui se rapporte à la nature ou précisément le savoir harmonieux et cyclique sur la nature dénommée φυσις. Dans un sens général et ancien, la physique désigne la connaissance de la nature qui se perpétue en restant essentiellement la même avec le retour des saisons ou des générations vivantes. Physica d'Aristote (-384-322) reprend cette terminologie.

 

Le Langage reste trop limité pour rendre compte de la vérité si l'on doit comparer deux quantités. Seule la connaissance des nombres et des mathématiques qui en résultent permet alors de distinguer le vrai du faux. Seul la mécanique quantique permet d'expliquer la structure des atomes et de la matière et l'expansion de l'univers par des niveaux d'énergies bien précis.

 

J'en déduit que cette conscience du réel est le troisième big-bang qui s'est manifesté au Vème siècle avec la naissance des sciences dans le monde Grec avec Thales et Pythagore(-580-495) et la conscience des nombres en particulier de leur complexité et de la démonstration de l'existence de nombre irrationnels tel l'hypoténuse du carré.

 

Cette conscience du réel permet aussi à cette époque une représentation artistique de notre environnement et en particulier de l'homme tel qu'il est de manière intemporelle. L'art est pour la première fois non seulement vrai et intemporel mais il est aussi abstrait et intellectuel lorsqu'il s'agit de la victoire de Samothrace.

 

Démocrite disciple de Leucippe (-460-370), reprit l'idée d'atome de son mentor: c'est la première fois que l'on utilise ce terme! Atome vient du grec "a" qui exprime la négation et "tomos" qui signifie "sécable" : C'est donc quelque chose qui est insécable (que l'on ne peut couper).

 

Socrate (-460-399) fit de l'intelligence l'instrument d'une quête méthodique. Ce siècle marque pour moi le début de la Conscience. C'est un véritable tournant qu'il a su définir par "connaît toi toi même" qui affirme la définition de l'humanité...par l'homme.

 

 

 

 

 

7- Machine de Turing.

 

 

bande Turing.png

 

 

Une machine de Turing simplifiée est une bande avec une tête de lecture/écriture qui permet d'exécuter et de résoudre les procédures algorithmiques. Une machine de Turing universelle a potentiellement la capacité de calculer tout ce qui est calculable, on dit alors qu'elle est Turing-complète. En lui fournissant le codage adéquat, elle peut simuler toute fonction récursive, analyser tout langage récursif, et accepter tout langage partiellement décidable. Selon la thèse de Church-Turing, les problèmes résolubles par une machine de Turing universelle sont exactement les problèmes résolubles par un algorithme ou par une méthode concrète de calcul

 

Ribosome.               La vie et sa progamation codée dans l'ADN.

 

ribisome Turing.png

 

La fonction du ribosome est de traduire le code génétique en protéines, par l’intermédiaire des ARN messagers (ARNm). L'activité enzymatique du ribosome étant portée par les ARNr, le ribosome est un ribozyme. C’est une Molécule d'ARN possédant une activité catalytique. Le ribosome traduit des triplets de nucléotides (un codon) portés par les ARNm en acides aminés. Ceci est possible grâce à l’intervention de molécules interprètes, les ARN de transfert (ARNt). Elles portent deux informations essentielles : un anticodon qui reconnaît le codon de l’ARNm, et un acide aminé correspondant. Ainsi, chaque codon est traduit par l’un des vingt acides aminés existants, et l’enchaînement des codons donne naissance à un enchaînement d’acides aminés, c'est-à-dire une protéine.

La lecture du message porté par l'ARNm (copié dans l'ADN) et sa traduction sous forme de protéine sont assurées par le ribosome, une des plus complexes machines cellulaires. Le ribosome est constitué de trois molécules d'ARN et de plus d'une cinquantaine de protéines. Son rôle est le décodage d'une information écrite avec quatre codons – A, C, G, T de l'ADN, puis A, C, G, U de l'ARN – vers un alphabet à vingt lettres : les vingt acides aminés composant les protéines. Il réalise cette opération en lisant la séquence de l'ARN par groupes de trois bases, chaque triplet ou codon indiquant un acide aminé de la séquence de la protéine en cours de fabrication.



Le ribosome est la machine de Turing qui décode dans l'ADN la séquence des acides aminés de la fabrication des protéines adaptées à la réponse désirée pour stimuler le métabolisme. Le ribosome est la machine de création des commandes provoquées pour la création de la vie et pour sa régulation.

 

 

 

 

8- Toute l'évolution. 

 

 

En philosophie, Leibnitz (1646-1716) est, avec Descartes (1596-1650) et Spinoza (1632-1677), l'un des principaux représentants du rationalisme. Au principe de non-contradiction, il ajoute trois autres principes à la base de ses réflexions : le principe de raison suffisante, le principe d'identité des indiscernables et le principe de continuité. Concevant les pensées comme des combinaisons de concepts de base, il théorise la caractéristique universelle, une langue hypothétique qui permettrait d'exprimer la totalité des pensées humaines, et qui pourrait résoudre des problèmes par le calcul grâce au calculus ratiocinator, anticipant l'informatique de près de trois siècles.

 

En métaphysique, il invente le concept de monade. Le terme «monade», employé en métaphysique, signifie étymologiquement «unité».

 

La cellule — du latin cellula « cellule de moine » — est l'unité biologique structurelle et fonctionnelle fondamentale de tous les êtres vivants connus. C'est la plus petite unité vivante capable de se reproduire de façon autonome. La science qui étudie les cellules est appelée biologie cellulaire.

 

L'organisme pratiquement Prokariote unicellulaire le plus évolué sur Terre semble être Physarum polycephalum — Wikipédia. Le blob Physarum : une cellule géante sans cerveau qui apprend, il semble être sur la branche originale Protista de toutes les lignées de la vie. C'est le blob qui peut mesurer un mêtre.

 

 Protista.png           blob.jpg  



 

Cette bestiole valide et clos toute mon étude “Du Big Bang au Cerveau” qui avait pour ambition de comprendre le fonctionement du Cerveau à partir des lois fondamentales de l'évolution de l'Univers avec comme ligne directrice que ces lois devaient être simples et unique pour pouvoir être universelle et s'apliquer à toute l'évolution, un peu comme pour Dieu qui explique tout. Pour celà j'ai d'abord révisé toute ma Physique pour trouver cette loi thermodynamique que j'exprime comme: “Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme avec augmentation d'Entropie et un minimum d'Energie dans le temps, c'est l'évolution naturelle.” C'est la structuration normale de tout l'univers.

 

Tout est là. Evidemment au départ il nous faut notre nomade, notre élément unique originel est le photon, c'est l'Energie originelle du Big Bang arrivant on ne sait d'où ? C'est pour l'instant à mes yeux une méga bule de Photons il y à 13,7 Milliards d'années lumières à 10-12 prés, mesurées grâce au photon lui même. Et, on sait qu'il est là !

 

Cet univers en expension donnera naisance à la matière par E=mc² puis à la vie par l'ADN puis à la conscience par la pensée et la structuration. Le mot naissance est celui qui décrit toute l'évolution. On peut considérer que l'on a ces trois Big Bang succéssifs qui produisent trois matières succéssives encore inexpliquées totalement.

 

Le blob photographié ci dessus mesure environ 10cm. Il est à plat sur un fond noir. Ce pourrait être l'image du Big Bang et son expension dans l'espace. Il me servira aussi à représenter le fonctionnement du cerveau lorsqu'il pense. C'est aussi notre monade ou unité de base dans l'explication de la vie à partir de la matière inerte. On pourra ensuite suivre sa pensée simplement dans un plan ce qui sera bien pratique. Mais d'où vient la pensée dont on voit le résultat avec le blob sans cerveau. Cette pensée intelligente c'est le choix de la solution la plus économe des chemins que l'on peut voir se développer lentement dans des veines qui établissent les connections nécessaires à la transmission des informations necessaires à la prise de décisions. Nous savons que les commandes sont dans l'ADN. Elles seront déclanchées par la perception des hormones percues de l'extérieur par les tentacules produites dans ce but et il nous reste à découvrir la machines à fabriquer les protéines synthétisées pour réagir et c'est le ribosome qui est une machine de Turing à fabriquer des protéines suivant les programes de l'ADN et l'effet désiré......

 

 

 

 

 

 

Synthèse de l'évolution.

 

Mon développement est de considérer l'évolution, après le Big Bang, l'inflation et les photons regroupés au temps 10-12 secondes, comme étant régie par une solution cohérente simple ayant une précision suffisante à notre échelle avec une origine énergétique unique de photons et un principe fondamental de moindre action.

 

 

Au passage, de magnifiques documents philosophiques sur l'historique scientifique:

M. Serres.         http://www.archipress.org/?cat=174&paged=2 Gnomon: origines en Grèce.

Gilles Deleuze. http://www.archipress.org/?page_id=919          Vidéo “Monade”. Le pli de Leibniz.

Alain Connes,  Les Mathématiques et la pensée en mouvement Vidéo groupe de Gallois

 

 

La théorie du Big Bang suppose un point de départ à priori aussi simple que possible. Une bulle d'énergie et c'est tout, que des photons! C'est aussi sans doute la raison de la solution divine simpliste où tout découle d'une même cause unique. Mais, auparavant ce fut sans doute toutes sortes de djins, divinités ou esprits se cachant dans la nature et sa complexité que l'on oubli.

 

Pour décrire son environnement l'humanité a développé un langage structuré qui ne devient clair que lorsqu'on trouve les mots pour cela. Ces mots sont répertoriés dans un dictionnaire, le Petit Larousse illustré par exemple où il y en a plus de 35.000. C'est une première mesure de la complexité de notre monde qu'aujourd'hui on mesurerait plutôt en bit ou Qubit informatisés ?

 

Si chaque chose différente de notre monde nécessite un mot propre pour la différencier du reste alors leur compréhension risque d'être limitée par la dimension de notre mémoire. La plupart des Français utilisent entre 3.000 et 5.000 mots. Mais dans la vie courante, nous n'en utilisons qu'environ 500.

 

Tout savoir ce n'est pas seulement décrire les éléments concernés. C'est aussi les comprendre et juger de leur importance. Comprendre leur origine et leur place dans leur environnement. Comprendre leur diversité et leur complexité dans leurs interactions. Cela nous submerge très vite dans notre possibilité de tout savoir.

 

Alors, on en conclu que c'est comme ça et qu'on y peut rien. Et, on doit bien continuer son petit bout chemin en essayant de s'y retrouver. En général, on recherche la protections de ses ancêtres et c'est le plus raisonnable. Une prière aussi ne coûte pas trop cher.

 

Il existe aussi peut être une solution simpliste où une raison unique gèrerait toutes les transformations successives à partir d'une origine unique répondant à toutes les questions pour créer toute la diversité de notre monde que l'on trouverait comme par exemple avec un arbre de questions.

 

Sapin.png
Sapin de Noël

 

 

Sapin-arbre.png
ou simplement Arbre

 

 

arbre-Mississipi.png

ou réseau fluvial ?

Le Mississippi.

 

Sauf que pour un français, la source de ce fleuve étant celui du Missouri....la distinction entre fleuve et rivière semble être une spécificité de la langue française. En effet, elle n’existe ni en anglais, ni en allemand, ni en espagnol, ni en italien. Cette remarque est là pour mettre en évidence le fonctionnement rationnel du cerveau dans la construction des mots qui est une Structuration abstraite basée sur les mêmes lois fondamentales que celles de toute l'évolution. Le mot fleuve en français sélectionne le cours le plus long qui caractérise ces écoulements naturels. C'est un extremum de l'objet qui caractérise ce mot.

 

Le fonctionnement du cerveau serait comme celui de l'écoulement d'un fluide, celui d'un fleuve, qui en s'écoulant cherche et impose son chemin en le renforçant à partir des précipitations qui le renforce en regroupant les affluents et les rivières génératrices, pour s'imposer enfin comme étant la solution, celle du cours final du fleuve de sa source à son estuaire. C'est la solution naturelle.....

 

Ce serait ces mêmes chemins qui seraient sélectionnés à travers les neurones du cerveau.

 

Cet essai de compréhension de l'évolution globale de notre environnement dépend évidement aussi du degré de raison qui s'y attache. Mais qu'est ce que la raison ? C'est généralement considéré comme une faculté propre de l'esprit humain dont la mise en œuvre lui permet de fixer des critères de vérité et d'erreur, de discernement du bien et du mal et aussi de mise en oeuvre de moyens  en vue d'une fin en soit, d'un but …... Ce serait l'intelligence?

 

arbre-Cerveau.png
C'est la solution qui s' impose alors et s'affirme au milieu de tous les chemins possibles.

 

Si la raison est une création du cerveau humain lui même on risque de tourner en rond !

 

Les sciences permettent de sortir de cette boucle et de faire intervenir un système complet de critères de mesures et de procédures logiques qui pourraient délimiter un domaine fermé objectif de connaissances. Ce domaine serait celui du cartésianisme de René Descartes (1596-1650) qui marque le début de ce cheminement du monde moderne «pour bien conduire sa raison et chercher la vérité dans les sciences». Pourquoi dans les sciences ? Parce qu' alors l'erreur s'y mesure scientifiquement par un nombre et dés lors devient un critère moins partial et peut être plus juste.

 

Donc on voit bien que je joue avec les mots et l'information qui s'y attache pour en extraire le plus possible de vérités. Je parcours différents chemins en recherchant le bon. Mais à part l'académie Française qui essaie de rationaliser notre langue il bien faut admettre que sa structuration est au départ une création naturelle du cerveau et tout cela est probablement le résultat de flux d'énergies dépensées pour sculpter notre environnement matériel et intellectuel tel l'Entropie qui accompagnes toute transformation vers plus d'ordre, et c'est la science qui nous guide là aussi.....

 

Donc, voila l'historique par un rappel des étapes essentielles qui concernent le développement de la science physique actuelle et qui permet aujourd'hui des prédictions et des mesures vérifiées avec une précisions considérable, de l'ordre de 10-12 , la picoseconde par exemple correspond à 12 chiffres significatifs exacts, et c'est ce qui justifie la validité de l'ensemble des connaissances, des théories et des développements logiques employés pour aboutir à des résultats plus objectifs, et surtout indépendants de nous même.

 

Pour valider ces chiffres il faut signaler, qu'actuellement cette vérification de la précision de la mécanique des solides est en train de réalisation à 10-15 près dans l'espace. C'est le but de la mission "Microscope" qui effectue ces mesures en apesanteur et dont les résultats seront exploitables en 2018. Il s'agit de vérifier que la masse de gravitation est identique à la masse d'inertie pour lesquelles actuellement il n'y a pas de différence notable à 10-12 près. Si ce n'est pas le cas au delà ceci nécessiterait surement une nouvelle théorie mécanique plus élaborée ?

 

 

 

 

Historique de la théorie fondamentale en Physique:

 

C'est grâce à ce développement que je veux montrer que l'on dispose actuellement des arguments scientifiques qui valident la justesse de nos connaissances scientifiques. Le modèle du Big Bang est valide dans sa simplicité et surtout l'unicité de l'origine dans une bulle d'énergie, et de son évolution dans le temps et dans l'espace. Actuellement, et depuis peu, on peut l'observer quasi totalement à l'aide des ondes optiques et surtout gravitationnelles. De plus la théorie des calculs algébriques à 10-12prés permet de justifier par l'expérience les résultats de la théorie de la mécanique physique.

 

Équation de Lagrange.

 

L(x,p) = p²/2m + V(x)

 

Ces calculs d'évolution se basent pratiquement sur la formule universelle simple du Lagrangien

{ modifiée ici avec le signe + pour introduire le moteur de toute l'évolution qui est l'énergie totale du système étudié      1/2m.v²+V(x) }. 

 

Ce Lagrangien porte sur les variables d'état (x,p) au premier membre et s'exprime au second membre en fonction de l'énergie totale p2/2m+V(x) du système isolé étudié équivalent à 1/2m.v²+V(x) . C'est la somme de l'énergie cinétique et de l'énergie potentielle. L'énergie est le générateur des transformations et des mouvements obtenus. C'est un invariant global fondamental. Sa variation totale est nulle donc dL(x,p)/dt = 0 ce qui nous fournira les équations des variations dans le temps t. Dans cette formule il existe un autre invariant qui est qui est la quantité de mouvement p = mv. Il apparaît alors que ce Lagrangien est lui même un invariant qui de ce fait est de variation globalement nulle dans le temps t. D'ailleurs le temps n'intervient pas explicitement dans l'expression du Lagrangien ci dessus.

 

On retrouve les équations différentielle de l'évolution dans le temps comme les trajectoires et les transformations en calculant les variations des variables (x,p) en fonction du temps t dans l'expression des variations des énergies du second membre qui correspondent au calcul des extremum où se manifestent l'invariance qui se traduit par le principe de moindre Action (minimum, de dérivée nulle). Ce principe gère toute l'évolution et même celui de la pensée du cerveau.

 

 

 

Transformation de Legendre:

 

Il s’agit d’une transformation mathématique qui permet de passer d’une expression en fonction d’une variable q à son expression en fonction de la variable conjuguée q'. En physique elle sert en mécanique analytique (passage entre la formulations lagrangienne et celle hamiltonienne) ainsi qu’en thermodynamique (passage d’une fonction d’état à une autre fonction d’état ).

 

Dans ce paragraphe tout est dit et il ne me reste plus qu'a réussir à vous en convaincre.

 

Je m'intéresse donc aux lois fondamentales de l'évolution et de leur universalité. Pratiquement, ces lois se sont développées à partir de la généralisation de l'écriture au premier millénaire avant JC. avec les premiers alphabets complets grecs et latins introduisant un alphabet avec 26 lettres, et surtout traitant aussi leur diffusion et leur exploitation par des écoles philosophique et scientifiques. Homère est réputé avoir été un aède de la fin du VIIIème siècle av. J.-C. Il était simplement surnommé «le Poète» par les Anciens. Les deux premières œuvre  de la littérature occidentale que sont l’Iliade et l’Odyssée lui sont attribuées. 

Parenthèse Culture 1 - Luc Ferry - Les mythes grecs et la question du …  prouve le degré d'humanité atteint par la civilisation grecque déjà à cette époque et la conscience d'Ulysse de ses devoirs et de sa responsabilité dans ses actes au delà des volontés divines. Il parvient à se libérer des contraintes divines pour poursuivre son chemin jusqu'au bout. Peu après: Le Vème siècle AC. apparaît alors comme le début de la Science moderne.

 

Solon (640-558 av. J.-C.) 82ans né à Athènes est un homme d'état législateur et poète athénien souvent considéré comme le père de la démocratie à Athènes, il fait partie des sept Sages de la Grèce antique. Solon exigeait que la Cité apprenne à ses enfants la lecture, l'écriture, la natation, les lois, les mathématiques puis plus tard la poésie (Homère, base de l’éducation et de l'exemplarité). Il en était de même et avec plus de rigueur à Sparte et dans les autres cités grecques, toutes indépendantes. Le monde grec était divisé en de multiples entités autonomes, suivant la géographie physique où chaque île, vallée, est coupée de ses équivalents par le relief, les chaînes de montagnes, qui rendent difficiles (mais possible) de passer de l'une à l'autre. Ce qui réunissaient les grecs c'est leur culture, la langue, les jeux olympiques (-776), la mer, ….le commerce.

 

Epoque grecque.png

 

c'est le peuple de la mer.

 

 

 

 

 

La population grecque est multipliée par plus de dix de -800 à -350 av. J.-C. passant de 700.000 à une population estimée entre 8 et 10 millions.

 

 

Thalès (625-546 av. J.-C) 79ans Pythagore (580-495 av. J.-C) 85ans Euclide (vers-300) marquent les mathématiques. L'ouvrage le plus célèbre, les Éléments, est un des plus anciens traités connus présentant de manière systématique, à partir d'axiomatique et de postulats un large ensembles de théorèmes. Il porte sur la géométrie tant plane que solide et sur l'arithmétique. L'ouvrage a connu des centaines d’éditions en toutes langues et ses thèmes restent à la base de l’enseignement des mathématiques au niveau secondaire dans de nombreux pays.

 

Il est à remarquer en vert que la durée de vie moyenne de cette population est de l'ordre de 75ans ce qui est pratiquement la durée de vie actuelle et sa culture artistique comme politique semble aussi très proche de la notre. Cela pour souligner le troisième Big Bang de l'apparition sur Terre d'un état de conscience, celui de l'humanité, s'affirmait déjà. Ce qui me permet d'affirmer cette apparition de la conscience à cette époque est que l'art est alors capable de représenter pour la première fois l'homme tel qu'il est concrètement. Et, ces représentations ne peuvent plus être datées et deviennent universelles.

 

La science universelle naissait et s'affirmait aussi au Vème siècle avant J.C.

 

Isaac Newton (1643-1707) a fondé la mécanique classique avec sa théorie de l'attraction universelle (la gravitation et F = m.g).        Il a contribué aussi aux progrès de l'optique et de l'analyse mathématique. Des causes, les forces, produisent des effets: des déplacements ou des déformations.

 

Joseph-Louis Lagrange (1736-1813) a introduit le lagrangien.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

<span style="font-family: Times New Roman,serif;" face="Times New Roman%



15/01/2018
0 Poster un commentaire